Sioen Industries: des étiquettes à la mesure du client

Leader mondial du marché des textiles techniques, Sioen Industries nous a ouvert les portes de ses ateliers à Ardooie. Jean-Claude Hoebeke était notre guide. Il nous a expliqué l’histoire de la famille Sioen et la production actuelle. Il nous a également expliqué pourquoi les étiquettes et les imprimantes qu’Etilux leur a fournies étaient nécessaires.

Sioen Industries, de la petite fabrique de textile au marché international

En 1960, personne ne connaissait les “textiles techniques”. Jean-Jacques Sioen a fondé Sioen Industries et s’est spécialisé dans ce nouveau secteur très prometteur. Il a commencé avec une petite ligne de revêtement à Beveren-Roeselare, en Belgique.

En 1967, sa femme Jacqueline Sioen lance un atelier de confection à Roeselare pour traiter les textiles enduits de Sioen Industries. Ses premiers produits étaient des vêtements de pluie pour les pêcheurs et les agriculteurs.

Au fil des ans, Jean-Jacques et Jacqueline Sioen ont fait de Sioen une société de textile internationale cotée en bourse.

Sioen contrôle l’ensemble des processus de production des textiles : du fil aux tissus et des pâtes pigmentaires aux revêtements. L’entreprise est active dans un très grand nombre de secteurs de l’industrie textile. Cela va des combinaisons anti-incendie aux bâches de protection, en passant par les géotextiles et gilets pare-balles.

Avec des clients allant du Brésil à Abu-Dhabi, Sioen est reconnu comme acteur international et leader du marché dans l’industrie textile. Ils sont maintenant capables de développer des solutions créatives en concordance avec l’évolution constante des besoins du marché et des parties prenantes.

L’intervention d’Etilux auprès de Sioen Industries

Etilux est présent depuis les premières années. Il fallait standardiser tout le système d’impression et d’étiquetage. Sioen recherchait des étiquettes en nylon durables répondant à des exigences spécifiques, ainsi qu’une imprimante capable d’imprimer ces étiquettes. « L’étiquette doit pouvoir résister à 50 lavages avec des détergents assez agressifs, à 60°C, tandis que le texte doit rester lisible. L’utilisateur doit pouvoir voir à quoi le produit correspond », explique Jean-Claude Hoebeke. « Il y a de plus en plus de normes spécifiques à notre profession et nous devons en tenir compte […]il est important pour nos clients de connaître la composition du textile, la nature des tests que nous avons effectués et quelle est la durée de vie du produit. Certains textiles restent en circulation pendant 10 ans (par exemple, les combinaisons de pompiers), l’étiquette doit donc durer tout aussi longtemps ! »

Étiquettes personnalisées

« La largeur de l’étiquette doit rester standard. La longueur est déterminée par le nombre de symboles standard ainsi que texte que l’on imprime dessus. Ce n’est pas le client qui fixe tout ces paramètres mais des règlements spécifiques à chaque secteur. Nous avions donc besoin d’une imprimante qui puisse couper la longueur des étiquettes en fonction des informations qui doivent figurer sur l’étiquette. » explique Jean-Claude Hoebeke.

Pour répondre à toutes ces exigences, Nicole Vermeulen, déléguée commerciale chez Etilux, avait suggéré les imprimantes Toshiba. Celles-ci ont servi pendant des années (certaines sont d’ailleurs toujours en service).

Les imprimantes Cab Squix 4MT les ont progressivement remplacées car elles étaient spécialement développées pour couper les étiquettes en nylon textile. Etilux a également opté pour des étiquettes en nylon blanc, non adhésives, pouvant se coudre dans toutes sortes de textiles techniques.